Celle-ci est très intéressante. Je ne suis pas encore convaincu par l'efficacité de cette série pourtant je ne résiste pas à voir les parutions se succéder. Je m'aperçois de plusieurs choses qui ne sont pas sans me laisser insensible à ta démarche. Sur cette photo, le chien est bien figuré, il se détache bien de son environnement, cela rend l'atmosphère moins onirique, moins rêvée, presque réelle et c'est ce qui m'intéresse ici. Le flou est un sujet récurent en photographie, il a la faculté de perdre le spectateur, on perd de la visibilité pour gagner en imaginaire, c'est le principe du fantasme. Or le fantasme a besoin d'être figuré pour être attirant. Dans nombreux de tes clichés précédent, le sujet n'était pas assez figuré pour m'attirer pleinement. Il n'y a guère que le n°5 qui m'a vraiment séduit, avec celui-là ça fait deux, et donc suffisamment pour revenir demain. j'ajoute que les couleurs sur celle-ci, réduites dans leurs nombres et poussées dans leurs tons participent à la poésie de la scène. En bémol, je regrette que la position du chien ne soit pas centrale. Bravo. ;)
Je comprends ton point de vue que tu développes avec clarté. Il ne s'agit évidemment pas de restituer la (les) réalité(s), mais une tentative de "revisiter" avec mon regard...
Celle-ci est très intéressante. Je ne suis pas encore convaincu par l'efficacité de cette série pourtant je ne résiste pas à voir les parutions se succéder. Je m'aperçois de plusieurs choses qui ne sont pas sans me laisser insensible à ta démarche. Sur cette photo, le chien est bien figuré, il se détache bien de son environnement, cela rend l'atmosphère moins onirique, moins rêvée, presque réelle et c'est ce qui m'intéresse ici. Le flou est un sujet récurent en photographie, il a la faculté de perdre le spectateur, on perd de la visibilité pour gagner en imaginaire, c'est le principe du fantasme. Or le fantasme a besoin d'être figuré pour être attirant. Dans nombreux de tes clichés précédent, le sujet n'était pas assez figuré pour m'attirer pleinement. Il n'y a guère que le n°5 qui m'a vraiment séduit, avec celui-là ça fait deux, et donc suffisamment pour revenir demain. j'ajoute que les couleurs sur celle-ci, réduites dans leurs nombres et poussées dans leurs tons participent à la poésie de la scène. En bémol, je regrette que la position du chien ne soit pas centrale. Bravo. ;)
RépondreSupprimerJe comprends ton point de vue que tu développes avec clarté. Il ne s'agit évidemment pas de restituer la (les) réalité(s), mais une tentative de "revisiter" avec mon regard...
RépondreSupprimerMerci Benjamin!
Là, tu chipotes avec ton bémol! ;)