Christine, ce qui reste est en moi. Dans certains endroits, je n'ai fait que passer. D'autres furent plus que des ports d'attache -y vécu des années durant… Malheureusement, ces mémoires photographiques sont incomplètes -perdues !
Sur toute trace de la mémoire a t'on jamais fait autre chose que passer? Et la durée est-elle garante de l'importance des choses ? Tes photos s'arrêtent au bord de l'invention de la mémoire. Elle ouvrent une interrogation sur la période, les conditions du voyage, et le pourquoi de ta présence en ces lieux, sinon ce sont des images éteintes... Un jour j'ai rêvé que je regardais à la jumelle une carte panoramique d'une ville où j'ai vécu et où je ne suis jamais retournée. J'espérais voir cette carte s'animer. La vie reprendre....
Que reste-t-il Irène de ces voyages ?
RépondreSupprimerUne mémoire ? Des pierres collées aux arbres ?
La pellicule est un champs fertile
Christine, ce qui reste est en moi.
SupprimerDans certains endroits, je n'ai fait que passer.
D'autres furent plus que des ports d'attache -y vécu des années durant…
Malheureusement, ces mémoires photographiques sont incomplètes -perdues !
Sur toute trace de la mémoire a t'on jamais fait autre chose que passer? Et la durée est-elle garante de l'importance des choses ?
RépondreSupprimerTes photos s'arrêtent au bord de l'invention de la mémoire. Elle ouvrent une interrogation sur la période, les conditions du voyage, et le pourquoi de ta présence en ces lieux, sinon ce sont des images éteintes...
Un jour j'ai rêvé que je regardais à la jumelle une carte panoramique d'une ville où j'ai vécu et où je ne suis jamais retournée. J'espérais voir cette carte s'animer. La vie reprendre....
Brigitte, pour la nième fois, je te répète que j'ai écrit la première partie de mes années d'errance.
Supprimer"Textes", Fragments et souvenirs
http://irenedegrootplasticienne.blogspot.com/